Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques
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Pouvait-il craindre la présence
x De la mort si prompte à venir ? $ Il conservait le souvenir De son active bienfaisance.
O vieillesse ! qu'à ton aspect , Lorsque du bien, l'amour l’enflamme ; On sent pénétrer dans son âme Et de tendresse et de respect !
Qu'elle nous parait vénérable
La neige de tes longs cheveux !
Que, pour toi, l'on forme de vœux ! Que ta sagesse est désirable !
Maïs qu’on méprise le vieillard Qui suit une route contraire ! C'est un enfant nonagénaire ,
Que le monde laïsse à l'écart: Pour lui tu n’es environnée
Que de soucis tumultueux ; Qu'es-tu pour l'homme vertueux ? Le soir d’une belle journée.
À DL’ A GR 1 CUBE UE K E.
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Air : Descends, 6 Liberté! fille de la Nature.
S our ce de tousles biens, utile agriculture,
Bellone a, loin de nou$!, dispersé tes enfans ;
Dans nos champs, où languit la féconde nature, Flottent ses drapeaux triomphans.
Voiïs-tu ces toits fumans, ces campagnes désertes ? Ces décombres épars dans nos vastes cités ? Et le Ger étranger qui, riche de nos pertes, Insulte à nos calamités ?