Bitef
’ hat maybe it them can be found an answer to the reality of tur time, probably the experience of contemporary structuralism and science has read ed the theatre too in recent seasons, i nvariably it is i question oj a myth comprehended in a wider sence than in tunease of the helenitTmÿfh ~dTthough itjibove all others, stands as the foundaiion of our c vilization. ■eflections of this myth cimprehendea in a wider cense is contained, for instance, in the interpretation )f richard the third by the deutsches \heatre; tartïiffe and or gin from Villeurbanne, or the conception if poet el tounsi which is a myth of its own kind in the arab world, and even the legendary personality if the hero vxtisii tyorkin or cepanko\ from macedonia, nevertheless maybe In the intèrpJëldÏÏôn ôfilfé helenic myth by la mama is best contained this theses of the inerlockage of reality and myth, but it is it the same time characteristic that the director at drei serbati finds support in african and asian myths Po in expressing his theme more deeply and more comprehensively. ( he noh performance froip tokyo stands as an exanple of a theatre which ha's for centuries endeavoured tot to permit reality to pe vetrate into the eternal th ?at neat strut ture oj myth ; while ihe b, reVTof kdrolis ïoun, after aristophanes, is an example of human resistance against myth in a satirical vision of the vor Id. ince again, this year bitef did not we nt to depriv e the public of the outstanding performances of ti e world which are outside subsequently discovered tftemes. such performances are on summer holidays, from west bt rlin, and a month in the country from poland. [ the art galli ry 212 will be a place at which the bitef pubic will be able to see How the 'heme of myth and reali y appears in the field of art both in yugoslavia and abroad as presented by dragos ki lajié. 1 \fmira trailo dé and jovan ćirilov) i
entre le mythe et la r é alit é
tout au long de đe' siècle le théâtre n’a :essé d’être
préoccupé per le mythe, pourtant c’est seulement \ces années e entières que le mythe es, abordé ave ? '’idée des réponses possibles sur la réalité de not\e époque qu’il pourrait offrir, l’expérience du structuralist e contempot ain et de ne uveaux thèmes de ce di marne Ciudi îs par la se i enee ont irohahlemen ' contribué à ses réflets jusque dans le théâtre, pourtant le mythe y est t'ès souvent entendu plus largement que le mythe hellénique quoiaue ce de mir soit en premier lieu parmi les fondements de notre civilisation. les réflets c u mythe air si conçu sor, t sensibles par exemple dans l’interprétation de richard 111 au iesutches thiater, de raskolnikoff~ët la vision fantastique de youri zavadsky, dans vartuffe st argon venxnt de villem banne, ou bim dans Vidé > du poète el tounsi, mythe propre ai monde arbe, et même dans la figure légendaire di russili tiovkine ou de cepenkov di macédoine , cependant c’est peut-ê re l’interprétation de et mythe hellénique par h marna qui fait le m'eux ressortr la theès de '’inter pénétration du mythe et de la réalité, là il est intéressant de noter que le réalisateur andrei ser ban s'appuie aussi sur des mythes afrit ains et asiatiques ajm d’approfond'rson thème e ‘ de lui donner un éclair ige plus universel. le spectacle de no de tokyo reste un exemple du théâtre s efforçant demis des siècles à empêcher la pénétration de la réalitt dans des structures éternelles du mythe et »l’oiseau« de _karolos koun d’après arèstophane est l’exemple des résistances humaines t u mythe et de la vision satirique du monde. cette année bitej n’a not plus voulu Driver le pin die des spectacles impor 'ants dans h monde qui restent en dehors du thème, trouvé ultérieurement, parmi ceux-lï figurent »en vacances« de herlin-ouest et »un mois à la campagne« venant le pologne. la gallerie dart 212 sera le lieu de rencontre du public avec le mythe et la réalité dans les arts plastiques ciez nous et dans le monde grâce à la sélection de dragos ka'ajié. ( mira trailo dé et jovan é.irilov)