Entre slaves

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régner, ces divisions mortelles entre Bulgares. Puis on fit plusieurs découvertes désagréables.

Par exemple, il fut clair que les Bulgares que lon croyait lourds, peu ouverts à l'intrigue, avaient acquis en bien peu de temps des dons extraordinaires sous ce rapport. D'où cela venait-il? Et l’on réfléchit quautrefois, sous la domination ottomane et pendant longtemps, ces ex-sujets chrétiens du Sultan s’essayaient déjà à ce jeu-là en entretenant des relations avec les consuls des puissances. Ils leur portaient des réclamations et, selon les circonstances, tenaient des langages. différents aux uns et aux autres avec une grande habileté, souvent dans l'espoir de les exciter réciproquement et de faire naître quelque conflit favorable à leurs intérèts.

Ce qui fut également douloureux à constater, ce fut le scepticisme et l’irréligion de la partie intelligente de la nation et l'indifférence honnête, bien éloignée du fanatisme du Russe, de nombre de paysans. Les Bulgares ne pensaient pas en bons orthodoxes, c’est-à-dire en bons Slaves. C'était la conséquence du discrédit dans lequel était tombé l’ancien clergé grec et aussi l'effet des doctrines répandues dans l'exil jar Zankof. Toute la jeunesse bulgare de ce temps isait les écrits de cet homme politique qui, en répandant des idées générales, avait exposé les grands problèmes philosophiques avec une tendance marquée pour l’athéisme.

Malgré ces découvertes peu encourageanules, On

is.