Histoire chantée de la Première république 1789 à 1799 : chants patriotiques, révolutionnaires et populaires

de la première République 477

Qu’embellissent dix-huit printemps. C'est la rose nouvelle, Heureux cent fois qui lui rendra L'amour comme elle aimable. Ah! Il m'en souviendra, La rira De la petite table.

AE

LE CITOYEN D'HERMAND

GONSUL-GÉNÉRAL DE FRANCE A MADRID, AVOIT FAIT ENGRAISSER UN DINDON, QU’IL AVOIT NOMMÉ MANTOUE, ET QUI NE DEVOIT ÊTRE MANGÉ QU'APRÈS L'ENTRÉE DES FRANÇOIS DANS CETTE VILLE. C'EST AU SUJET DE CE DINDON QUE L'IMPROMPTU SUIVANT FUT CHANTÉ PAK LE CITOYEN S...

27 VENTOSE, AN V (18 mars)

Air : Du Club des sans-souci.

Bonaparte a dans sa poche

La capitulation

Qui veut qu’on mette à la broche Cet enfant de la maison : Mangeons-le mais sans reproche : Car dans cette occasion,

Il n’est pas le seul dindon. (bis)