La légende de Cathelineau : ses débuts, son brevet de généralissime, son élection, sa mort (mars-juillet 1793) : avec nombreux documents inédits et inconnus

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cinq coups de canon: et de part et d'autre il n’y a eu ni tué ni blessé.

Votre concitoyen,

Loir-Mongazon. commissaire civil.

IT 95 juillet 1703.

D’après la décision du conseil, M', voudrez bien vous porter du coté de la chossée de Mœurs, hor de la portée du canon, et de vous déployer pour inquiéter l’énemi. Quand-vous entendrez notre canon et que vous jugerez le combat engagé, vous foncerez, et vous nous envérez des couriers, pour nous avertir de vos mouvements, si toutefois vous étiez plus pret de l’énemi que nous. {L'heure à laquelle vous vous présenterez, doit estre fixée à quatre heures du matin précis.

Nous avons l’honneur d’estre,

D'Autichampt, de Fleuriot. De Cépot, Decépot. ce 25 juillet 1793.

Pour copie d'autant d’une lettre envoyée à M. Cady.

J. Fardeau. Poitevin, secrétaire, Poitevin.