Orateurs et tribuns 1789-1794

BARÈRE!

Le plaisant de la Terreur. — L'Anacréon de la Guillotine : Barère. — Le mensonge gascon. — Versatilité. — Jugement de Macaulay. — Les Carmagnoles de Barère. — Rapports avec

Napoléon. Barère perfectionne l’art de l'ignominie. — Un gouvernement de parvenus. — Je ne veux point paraître vendu. — Une lettre de change tirée par la gloire. Procès jugé et non plaidé. — Le seul homme auquel Robespierre ait pardonné. Aphorismes de Saint-Just. — Définition du gentilhomme, — Je crois à ses bénéfices. — Mots de l'Espagnol Izquierdo. — Bonaparte : son patriotisme au pas de charge. — Cette poussière puissante qui fut le Directoire. — La messe de l'abbé Sieyès. —

1. Né à Tarbes, le 10 septembre 1755, mort en 1841.

Mémoires de Bertrand Barère, publiées par Hippolyte Carnot, député, et David d'Angers, membre de l’Institut, précédés d'une notice historique par M. Carnot, 4 vol., Paris 1843. — Pages mélancoliques. — Essai sur la liberlé des mers. — Mémoires de Barras. — D'Escherny, la Philosophie de la Politique, 2 vol. — Les Derniers Montagnards, par Jules Claretie, membre de l'Académie française. — Macaulay, Essais historiques et biographiques t. II (traduction Guillaume Guizot). — Souvenirs de Dumont. Mémoires de Madame de Genlis, t. IV, p. 96 et suiv.

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