Dictionnaire des athées anciens et modernes

VO ?YŸY 509 VOSSIUS, (Isaac) fils de Gérard,

savant de Leyde, a regardé la religion comme

la matière de ses triomphes , et ne la

étudiée que pour en chercher le faible. Mém. de Trévoux, 1713.

VOYAGE dans les Pyrenées. (l’auteur du)

Le culte de la Vierge est bien plus approprié à l’esprit humain que celui du grand Etre, aussi inexplicable qu’incompréhensible. Page 272 , in-8°. Paris , 1789.

VOYAGEURS sur la mer. (entretiens, Cologne , 1683 , in-12 ).

Dans une épitre dédicatoire à messieurs les commis pour la visite des livres défendus, l’auteur leur dit en forme de réponse :

« On ne voit personne qui soit en peine » à Paris, pour avoir chez soi le livre de Spinosa + . . . ».

Tandis que les commis faisaient la guerre aux écrits en faveur des reformés. :

N. B. Quelquefois l’athéisme a profité de ces petiles querelles de sectes ; pour introduire la vé-

rité , à leur insçu.

URBIN. Il se trouva, à Rome , du temps de Pie IT, un homme de la ville

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