Dictionnaire des athées anciens et modernes
(2j déprécier ; mais comme dit Tacite : sr ouique decus posteritas rependit. I] m'a laissé le doyen et le chef de la secte socratique , et je ne dois pas trahir sa confiance:
PierRE-Syryais MARÉCHAL étoitné à Paris, le 15 août 1750. Dès l’âge de 20 ans ilfäisait de jolis vers; il avait beaucoup d’esprit, il acquit beaucoup d’érudition ; il avait une forte tête; ses réflexions le portérent à la plus haute philosophie. Le Dictionnaire que je le déterminai à composer, et que j engageai M. Cominge à imprimer, parut en 1800. Quoique fait à la hâte de pièces et de morceaux non digerés, il contient une immensité de faits, avec la profondeur des raisonnemens. C’est une espèce d’apologie de l’espèce humaine, destinée à faire voir que dans tous les siècles et dans tous les pays, malgré les Fyrans et les Prêtres, ila percé des philosophes au-dessus de la fange, quicouvraient l'univers. C’est aussi un ouvrage nécessaire à l’histoire de la philosophie, qui contient des faits plus remarquables que la plupart de ceux que Stanley, Burigni, etc. on8 compilés.
Marécuax fut attaché à la bibliothèque.