Dictionnaire des athées anciens et modernes

n (5) trouvé une morale très-pure; cepeñdanb ce livre lui fit perdre sa place à la Biblio thèque Mazarine.

En 1707, Culte et lois d'une société kl'hommes sans Dieu, en 105 FROPONÈUS , 64 pages in-12.

En 1798, il publia des pensées libres sur Zes Prétres de tous les siècles et de tous Les pays; il cite, page 174, un passage de Charron dans le livre de la sagesse , où l’au teur dit que: £outes Les religions ont cela le commun, qu'elles sont étranges e& orribles au bon sens. Livre Il, chapitre V, page 197, édit de Bourdeaus , in-80.

En 1798 , il donna son Encres ee gais , recueil depoësies détachées, en vers, destiné à rendre la vertu aimable, et à, Huprimer dans la mémoire les maximes de la morale. :

MarécHAz fut un des plus éloquens prédicateurs de la morale etde la vertu, en les séparant des considérations qui leur sont étrangères ; et personne n’en a parlé avec plus de sensibilité, de raison et d’esprit. Voicile catalogue de sesautres ouvrages ,!