Dictionnaire des athées anciens et modernes
(55) &e l'esprit et du cœur, dont il n’y 4 cépendant aucune préuve. : 1
Je plains les dévots qui connaissent si peu la Yertu ; ils s'estiment eux-mêmes si peu , qu'il m'est impossible de les: esti= fer beaucoup.
Dans le Journal des Débats à le plus res cherché actuellément , et le plus piquant de nos journaux, on rendait compte, le 1% septembre 1803, d’un beau discours de M. Luce de Lanciväl, prononcé au Prytan: née, où le reproche d'immoralité est rez produit avec beaucoup de force. Mais un litiérateur n’est pas physicien; il n’a pas étudié la matière ét le mouvement; il né peut que répéter les anciennes injures vo amies par les aveugles contre lesclairvoyans,
Pour moi, transporté dès l'âge deg ans (en 1751) à l’école du roi de Prusse et des philosophes dontilétait environné, j'appris à nrélever au-dessus des préjugés. Je n’ai jamais trompé une femme ; j'ai fait du bien toutes les fois que j’en ai trouvé l’occasion, Jen fais encore tous les jours. Mais M. Planche ne croit point à la vertu , et probablement je ne suis pour lui qu'un hypocrite, peut-être un homme aveuglé par les passions,