Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques

CI VI QU Es.

Approchez, venez recevoir

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Le prix de tant de sacrifices; C’est un plaisir, c’est un devoir pas

AD JIUL'E } É Que de payer vos longs services.

"1 Sages aüteurs , Gta nds magistrats Qui du temps bravez les ténèbres; Qui répandezsur les états

La splendeur de vos noms célèbres, Le ciel vous voit, avec amour, Suivre une carrière infinie;

Venez cueillir à votre tour

La palme qu’on doit au génie.

Est-il an plas touchañt tableau Que celui d'un doux mariage, *1Et dont le nüptial anneau Devient le respectable gage ? L’époux expire consolé Au sein d’une famille unie;

Au célibataire isolé :

Quel mortel peut porter envie?

Auxlueurs d’un pâle flambean , Voyez ses héritiers avides Le suivre aux portes du tombean, Armés de regards ‘parricides : Seul, aumilieu du genre humain, Et prêt à finir sa carrière ; I ne trouve pas une main Qui daigne fermer sa paupière.

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