Les fêtes et les chants de la révolution française

312 APPENDICE. «

et aux armées. — Plusieurs autres chants furent composés en l’honneur de Bara et de Viala, en vue ou non de la fête du 10 thermidor : tels sont la Romance patriotique sur la mort du jeune Bara et la Chanson républicaine sur la mort d'Agricole Viala. de Devienne; l'Hymne à Bara et Viala, de Langlé; l’Hymne pour la fête de Bara et Viala, par Beffroi de Reigny (le Cousin-Jacques); l'Hymne à Bara et Viala, paroles et musique de l’Élu, fonctionnaire de l'Institut national des aveugles travailleurs; Agricole Viala ou le Héros de treize ans, par Porta; un Chant de Guerre pour la Marche funèbre de Bara et Viala au Camp des Sablons, par Widerkehr, et plusieurs chansons sans noms d'auteurs ou sur des airs, connus.

CHAPITRE VIII — Du 9 thermidor au 18 brumaire.

Les sources principales de ce chapitre sont naturellement les œuvres, en grand nombre, qui y sont mentionnées : il suffira donc de se reporter aux sources générales énumérées au commencement de l’appendice. Y ajouter le recueil des Concerts républicains à la bibliothèque de la Ville de Paris, et le recueil factice de la bibliothèque de la Chambre des députés : Mélanges, fêtes publiques, instruction publique. Voir aussi le Catalogue de la Bibliothèque de l'Opéra de TH. DE LAJARTE.

Sur Bonaparte au Conservatoire et son colloque avec Cherubini, voir RAOUL ROCHETTE, Nolice sur Cherubini, p. 46; FÉris, Biographie universelle des Musiciens, art. Cherubini el Paisiello; A. POUGIN, Cherubini, Ménestrel du 11 décembre 1881.

Sur les hymnes de Lesueur pour les féles de l'Agriculture et de la Vieillesse :

M. Ch. Malherbe possède dans sa collection d’autographes les originaux de ces deux chants, qu'il a bien voulu me communiquer, et dont l'existence est pour la première fois signalée ici (cette constatation dût-elle contredire