Les Révolution

Révolutions de palais, révolutions d’antichambre ou d’alcôve.

Ces drames obscurs et honteux, qui se nouent et se dénouent dans l’ombre pour substituer un despote à un autre, ne méritent pas qu’on s’y arrête. L'histoire peut les enregistrer avec tristesse, mais la politique s’en détourne avec dégoût.

È

Une conspiration aboutissant à un meurtre, voilà le fond de toutes ces tragédies impériales ou royales. La jalousie, la corruption, toutes sortes de passions malhonnêtes y jouent les principaux rôles. Il est bien rare que le sentiment de l'intérêt public y trouve sa place.