Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens
t39 dettes qu by God ci abgneso ÿrécédéné; »b oué ,sviuo ns 2518 ewov ,5ldéRs tel palgiire. né ait <ommént: icopkiliere des fs sp conträdictoireso d'homme séclainé, des explique facilementsen obsérvant que: Gedrpustl prodigue À $ Sa vie privée-la. majeute spatite # 1ems qu'il dévroit employer AÛX; : >afaires Et; qué.ce, prince, à de, l'encéiément es fermeté; que dés PrÉtERSONS nets des préjugés égarent souvent. son. jugement s,e£/ qu'une )absurdé dévotion Jui fais. confondre fréquemment T'Hypocrisie-avec. Ja xéttulliousss seelüq SN 126x3 audi lee ibélienrés quâlisés etfes salerts des. -plus, distingués, ne formeront. 40) homme <d'EÉrat,-er encore, moins an Iglandroi sibune Sonr. point, Acedm pAsés He. Han connvissence - Eu <œur humain, des principes ec des: vérités sesséntielles äu | bonhçur dés, peuples, ; d'une) applisationsoutenue pour let défaites, des Ebabitude de tout Voir par. soimenie. , de UD ,CArAOTÈrS 2 gé= nÉteyx férme et consiant, et. d’unep défiance épars léfconseils er, ia seuriduite-ude 26PE quil employé, à Lexéchiion ide ses-ordresus | -b Liisipire, désrous-les-rois.et l'expériénce ant Ron AR dE SLR es courransvet sles: ministres , és ambitieux ercavides argussde sleurs maïties, Re en analyser, Les pénséss sidlés npencha