Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens
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avai «creusé cr «profond, -abyme 5 VOUS: sk one hui les; ÿ:: précipiter! en:iles, entraînant: (ans Ja guerre la. plus injuste ; D paéarnique
esbla plus idésastreuse, contre: -là France. : :Ongait combien vos; ministres dois ve lametiace.que:nous vouslavons: faite-de demander: justicencontre qauso, Azyotte. nation, votre véris table souverain, si vous continuiez voire -odiéuse conduire contre nous. On sait, dis-je, combien vos: ministtessSire,:;se sont donné,dé mouye* mens,iet-combien ils ont! faie de-dépensesipouf, cerromprè l'opinion. publique, paro des:calomnies. centrales Français ; pour corrémpre les mémbres lesoplus accrédités. des: elubs. dé; -Londres; et des provinces ;> caro Les aghäteurs:en Érancese 25 1] efiOvS 2H0n SUD, binous S120i5Y LrGiest ainsi.que. Nos. su se. sont sfarcé debpersuader-aux: Anglais; .que:la Etance né toit |plus que Ja: proie d'un. petit.membie:de fictieuxliet.de scélérats qui. -prêchoièent:la. loi agraire, >kécpartage.des.terres; et -quibfaisoient inassacrenles riches pour s'emparer de leursibiens, =5$ansidoute il. 22h Erance des: facrieux, [des assassinsser, des brigands ;: mais. ils sont sbudoyés par Sos ministres» Sire, Jet parnceux des, rois coalisés pour gsemer.et perpétuer Ja discorde, poury-provoquer etcomimettre tous lés.crimess et-d'unepart la nationcrie s'estrélle: pasindignée