Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

(16, }, HP RPREÉ. qu'à force de, corruption , vous. obtee niez, varie, de. votre parlement, de nouveaux subeic es pour, gêtte guerre. du despotisme, contre

la liberté, cette surcharge d’i impôts, cesureroit. de T misère ne pourroit-il pas préripiéer lajusteinsurrec-, tion ide v vos : nombreux mécontens., des Ecossais.et. des Irlandais ; SUr-LOUt, si, vexés par, votre parles ment, si desireux de recouvrer leux liberté 2: HAE occasion plus fayorable., pour. |euxi de l'ébtenir, que celle où toutes vos forces. seront; sur nos ne Vous risquez, donc, Sire d'avoir, la guerre, tout à la fois au-dedans, et,au,.déhors,: et si ‘dans ce moment nous Éd une ,.des-, centé en Angleterre ne seriez-vous, pas, drop heureux de trouver votre salut. dans une, fuite. précipiiée ? 7 a HU our. 29b:-S up Observez, Sire, qu aucune e Paissänce del'Eus, ropé } n 'est en état de soutenir la guerre contre, nous pendant. deux ans, tandis que nous ayons: des ressources certaines pour, trois, campagnes s: |

en lestinant un milliard pour chacune, et:

Et?

qu’ ‘avec un milliard, ©» entretient pendant, A: an, sun million de “soldats bien armés, nourris, soldés et habillés, # ahorilto. non \13. 21019) “Observez. quelle supériorité | doivent.avoir.des ;

HOSE 31

ns qui défendent Jeur liberté; Et deurs.i, ts les plus cl chers, " sur, les satellites axeugles,

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