Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens
( ro: 5) “Il ‘juervous préméditez contre “hou ; ‘car :sibvous: parveniez, Sire ; à nous! battre, à'mous raineril quelle-dépeñise énorme éerre horrible destrnétionr ‘coûrervit à vôtrernation? Quel actroisement delisa dérrer; deses imbôts/de si misérelQuie de banqueroutés ilsen résultèroit -chezrelletà Etrcquelles ‘ressources! iimenses : elles berdrbit pour] sun. -comimercé ‘et pour son induétrie®; “puisqu'elle fait on commerce. beanéonpi plis “considérable: et plus avan-agenx-aveel: soûé; ‘qu'avec ancumenaume nation / Er: nous triomts jphions;56iresioten seriessvousl? lonnsses 484 _2Nôn; sire, vous n'obtiendrez ppinr léconcénz
‘tenrent des dos ‘hrcette: -puerre detmtyri88$ ils ccohnoïssent amjourdhui des! vices sde leur “constitution ;-ils/ savent du'elle/n'esr en dernière! ‘anale rique! le despotismé avquelonla dorné des formes légales pour le reridres plus! puissant, plus dangereux. Hs savent: quune : nation n'est Pointe libre, Horsqu'élle est assujettie à Ta ryrants mie de la presse maritinie àtane: multitude de menapoles;-de prohibitions er d'entraves pour son icommerte ét sonindustrie; lorsqu'elle ne peut publiercseso opinions sur les vices detSôn: | gouvernement, sur la conduite des ihimistess | ‘sud les-droits: natarels de d'homme: brabredux de:la:-nation:,;\-sans: S'exposer! aux) phrstérrids dangers; l’ofsquine grande pérrierdecérre nation B 2