Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens
(27 5 aveugle et dy morne silence qui vous entitonast, er que sont exactement que les fers de L œüe, de la cerreur, de ! ‘abrutissement et de la shipeë que produit votre ayide et cruel ARE. Continuez, Ménscigneur, de nous calomnier , nous continuerons de vous confondre , : où
nos autres ennemis , par, nos lois sages, RES
nos. SUÇÈS. ; a non mettrons. à côte ; ou "vos
qusiqués- unes. :
: Guillaume, prince an) & HE Stau houdérat, n je 1 tions de délive es ‘de Philippe if: 3 mai
n avoit tt availlé
ne | montrà d'abord | que les inter.
bientôt / AE proua qu Al e pour sa propre ‘ambition,
en s 'emphrant de tous les pouvoirs g ét cértainement il sercit devenu lé tyran de la Ë siun émissaire de la cour de, Madrid net point assassiné. MOT L'ambitieux, Pingrat , | lé crtél et perfide
Maurice ne FHONoiE. qué Poe tement de «a
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patrie; sil fit assassiner un grand nombre d’ hom-
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mes veriuEux ; et subôrna dé faux témoins pour faire condamner a mort. $on ‘instituteur, qui
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cit le plus contribué à à f dléer: au Scathouderar ù
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