Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

Ç3°°) Votre: père». devint le ministre. favori de, votre mère, dont il dirigea la régence ph votre minorité.

De conceft avec la cour de Londres, en 1786, le duc. Louis fut sur lé point AvReritaeS les Hollandais dans nne guerre qui n ‘intéressoit que leurs ennemis ; ils, n’échappèrent qu'avec peine à ce “danger; les Anglais se vengèrent de leur. tésistance par, d'infâmes pirateries ; Cerfut: en vain que. es états-généraux pressèrent votre, mère d ‘opposer à ces brigandages üne vigoureuse résistance ; 3 On seulement.elle, sé refusa à tout. armement maritime, mais elle eut l'audacieusé. parñdie de s'entêter à demander une augmentas.

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tion dès. tronpes de terre. | Ce concert de lacour de la Haye avêc s ele de -

Londres, et leconstantentétementdes Stathouders à vouloir toujours augmenter leur armée de terre. trésinutile ä à leur pays.s suffroient pour prouverleur. constante conspiration contreleurnation, s'ilsn'en avoientpas d'ailleurs trop multiplié les préuvess, eneffet, 1°. Jamais un Euc commerçant, tel que. la ETAT ne dut.être militaire et n'eut besoin de plus de 13 à 15 mille soldats pour. garnir sés places : fortes ! fét pour. sa police intérieure ; aussi, dans leurs époques | de. bbérté, les, Hollandais favorisèrent ils toujours et_avec raison, leur marine marchande, de: préférence à leur.

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