Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens
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aux intérêts du idespète, Anglais 3-c'ést ainsi que la-puissance stathoudérienne employatoujours les trésorsoet des; flottesy de, l Hollandeà 'agrandissement, d'une; Rivale : dangereuse ;:Bnfn c'est ainsi que dei stathoudérat. toujours: été la seule néritable cause, de, la décaience dela US
débHollandens somod esuploup sup ang D Coton même sé Louis a ve votre ns cipalsinsrituteur, Monseigneur silvous rendit souple Pot -mauvais -conseils,1en:vous ins pi Ab: la plus | grande. confiance: et lui: l xous, Écaria -de |, l'applicatiort aux-âffairés :pour gouverner envotrenom,en inféctant vôtreesprit et VOTE Cœur d'inclinations icienses ; c’est, lui qui, pendant, que yous vous, amusiez, à faire. le, métier, de major, à commander l'exercice. ,ou,la parade. à vos gardes, ou à vous enivrer, intriguoitidans toures les. villes: ipour, «Qu'oni.ne ;nommät - que ses, afhdés, AUX. magistratures , et répandois des espions jusques, dans. des, Aroupes. et; sur tous-les vaisseaux “pour connoitre. quels étoient des, Barr tisans du prince -et,çeux. de ;lai liberté ;-c’étoit ‘ qui i donnoit des pensions secrètes aux Ministres. dela. xéligion. et aux -professeus - des universités, pou, gnsinuer, à, les iFuRess se que. leur, varié ne, voir pe yotre maison; CL mit aussi. Sons ESS les femmes intrigantes. et ;galantes, ; quititoures! exertoient