Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens
ere) de Tai 2 1 8er bièntôtauss'embafrasé “qévèusz d'ailleurs, VOhs savez que léé déspoteiest depiüis longsréems attaqué d'uñé maladie qüieéepagnie), puisqu'il la communiquée à°86s ministres ee à la majorité < de son parlement. Vous savez que , dans un accès de délire. il a voulu , contre les avis. des, hommes les plus sages de son royaume, entreprendre, Ja _Buerre « d’ Amérique. s qui, ‘seule a augmenté sa detre déjà 6 énorme de 139,1 EZI 876 livres, sterlings, dont Pinrérér à ! trois our Eent, est de 35755126, livres sterlings , s me € é ale à Ja cotalité des revenus. éunis des. rois ; de Suëde, de Dannemaïck, de : Sardaigne et des vê tres, Monièe gneur. Ne faudroit-il pas que vous üssiez déjà vous-même en-démence;»dans des circonstances aussi critiques quecellesoùyious vous HOuvez,par votren faute, pour mettre, votre confiance, |dans un homme qui, pour satisfaire sun, caprice; a été] perte d’une aussiexcessive- RÉONSHION px
Eh 3 + Ï # [} l £ 12 e 3 € 2 e Ha ae que ; ts à yos, s propres forces, hat 1 NOUS, serez, bien, foible, contre
mous..Quelle fgure.feront, vos band es. des claves commandés par les office ers les. plu us ignorans de l’Europe, après deux Eu ot 0e Särdaigne:, dévant les soldats dela liberté francaise, aidés des, méconters.- de os, tyrannies .?
En Septembre dernier 3 j'ai entendu vos officiers ,