Mémoires politiques et militaires du général Doppet, contenant des notices intéreffantes and impartiales sur la révolution française, etc.
Ex] des dédicaces : vérité que je vais prouver par tous les écrits que J'ai publiés.
Jai. fait, outre les deux ouvrages dont je viens de parler plus haut, imprime à Geneve en 1785 une brochure intitulée : Orai fon funebre de Mefrer, avec fon seflament. Cette lègere produétion n'était, 1l eft vrai, qu’une plaïfanterie ; : mais elle me ft honneur, en ce qu’elle ne flattait nine propageat it l'impofture.
Dans la même année 178$, je publiai les Mémoires de Madame de Warens, que le célebre L.J. pos leau avait fait connaître dans fes Conff ee QUE 8 il s’en fit une édition à Geneve & une à Paris.
Je fis en 1786 i imprimer Le Médecin philofophes J'étais déjà fi éloigné alors de vouloir jamais profefler le charlatanifme , que je déclamai fortement, dans cette brochure, contre les vendeurs & donneurs de médicamens.
En 1787, je publiai à Paris un ouvrage médico“romancier, fous le titre de Médecin de l'amour, Perfuadé de Peflet du moral fur le phyfique de l'homme , je voulais rappeller tous les médecins à l'obfervation & à à l'étude de l'homme moral.
Je fis imprimer à Laufanne , à peu près dans le même tems, les Nureros Parifiens. C'était un avis aux voyageurs curieux de parcourir cette grande ville. Cette produ&tion fournit encore ‘plus que les autres des preuves de la franchifé qui m'a toujours cara&térifé.
Ce fut encore à Laufanne, & dans le même tems, que je publiai les Mémoires du chevalier de Courtille | perfonnage qui avait vécu en Savoie,