Oeuvres diverses
la lettre à Charras, l’auteur du Devorr, le vertueux Simon, mis en face de la curée.. Guéroult-Girardin, n'hésite pas à immoler ses scrupules personnels au triomphe du prolétariat parisien : « Le devoir, écrit-il, « c’est la science du sacrifice. Personne ne se sacrifierait pour le devoir s’il était d'institution humaine. « On lui donne son repos, sa fortune, sa vie, parce : qu’on reconnaît qu’il vient de Dieu. Quelquefois la Providence permet que le devoir soit facile, le plus souvent elle nous oblige d'aller vers lui à travers le « péril et la souffrance, d'oublier pour lui nos goûts « et nos intérêts, nos amitiés, nos colères, nos espoirs « et de donner pour lui, jusqu’à notre vie elle-même. « Si elle garde une récompense à l’honnête homme, « elle la lui cache derrière le tombeau, et, parce qu’elle « la faite immense, elle la veut chèrement achetée. » — Amen !
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