Orateurs et tribuns 1789-1794
318
TABLE,
ELIE GUADET. — La vertu assignée aux affaires de ce
monde est une vertu à plusieurs plis. — Mot de Guadet sur Robespierre: un nouveau Mahomet, aux talents près. — Sa visite aux Tuileries. — Ducos et Boyer Fonfrède : le ventre dévorera les deux bouts. — C'est aujourd'hui que Clodius exile Cicéron. — Le champ des émigrés. — Le drapeau de la pitié relevé par une femme; madame Bouquey : Je craindrais qu'ils ne m'arrêtassent, et que deviendriez-vous ? . .
LOUVET ET LACLOS. — Louvet et a Sentinelle. — Le
brin de barbe de Marat. — Laelos : Les liaisons dangereuses. — Le code du libertinage . . . . . . . . . .
215
IV. — L'ESPRIT DES ORATEURS DE LA MONTAGNE.
DANTON, — Le Mirabeau de la populace; le Pluton de
l’éloquence, — Son mot sur Corneille. — Dossier politique de Danton. — Jugements divers. Arnault : Permettez-moi d'écouter comme si l’on jouait une de vos pièces. — Beugnot. — Accusations de vénalité, de dilapidation : Mirabeau, Lamarck, Lafayette, Bertrand de Molevile, Madame Roland, Louis Blanc, Mignet, Victor Hugo, Taine. — Défense de MM. Aulard et Robinet.— Conseil de Danton à Royer-Collard: Venez brailler avec nous. — Qui hait les vices hait les hommes, — La grande voix de la patrie en danger. Nous ne pouvons gouverner qu’en faisant peur. Éloquence de Danton : il compare la Révolution à une tragédie. — N'entamez pas l’Assemblée! Le crime a aussi son heure du berger. — Dans une révolution, l'autorité est aux plus scélérats, — La faction des Indulgents. — J'aime mieux être guillotiné que guillotineur. — Westerman. — Danton devant le tribunal révolutionnaire. — Le peuple déchirera par morceaux mes ennemis avant trois mois! — Dans une heure la République n'aura plus de tête . . . . . .
228