Anecdote sur la vie politique de Burke et sur sa mort, relativement à ses recherches et à ses calculs sur les finances et le commerce de la France depuis un siècle : avec des rapprochemens sur l'état progressif de l'Angleterre et sur les moyens de ruiner la nation française

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ubtra des redoutables ennemis de l’Angleterre, et qu’il vouloit mettre le premier échelon au marche-pied qui devoit l’élever au-dessus de lord Chattam, dans l'esprit de sa nation.

1] avoit pour unique confident et sous ami intime, le capitaine Thomas Barth, fils du malheureux colonel Barth, proscrit et ruiné dans sa fortune, pour avoirété du parti du prétendant.

Burke s’attacha linforturié Thomas par des bienfaits, l’aida par ses amis et parvint à lui faire avoir ‘un grade dans la mafine, ayéc:la propriété d’un vaisseai.

Thomas Barth passoit une partie desa vie sur les mers et l’autre auprès de son ami Burke. Personne ne connoissoït mieux qué lui le mouyement général du commerce, et particulièrement celui'de la France ; il étoit bon marin, bon négociant, mais ses connoissances se bornoïent là.

Burke ne retiroit que des notions vagues de son ami Tom, comme il Pappeloit, soit sur les ressources de la Fxance , sur ses produits, sur $a consommation, soit sur son importation et sur l'exportation de son su-

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