Considérations sur l'état présent des choses, relativement à politique, aux armée, aux ésperances que lon peux fonder sur une paix prochaine avec la France, etc.
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franchir la confcience de fes {atellites de tout remord, après avoir brifé tous les frains de ja morale, aboli tous les cultes, prononce enfin la déchéance de Dieu même! 5*.
La guerre, Souverains! une guerre 1miplacable , une guerré facrée! quoi, la Gré: ce a pü jadis fe liguer pour venger la profanation d'un temple! quoi, la Chrétienté fe fera Croifée pour aller, fur des plages lointaines , arracher le tombeau du Chrift aux mains d'un peuple , dont le ctime etoit dé ne voir en lui qu'un fage ; & lon voudroit que la caufe de Dieu fut abandonnée par des Rois : #44 qui ne tiennent leur pouvoir que .de Dieu t à 4 80 Te n'en dirai pas davantage; mais, que Ceux auquels un miniftére facré donna, de tout fems le droit de dire la verité aux Princes, laiffent là leurs vaincs déclamations contre une philofophie ;
5* Fauchet, Evêéque conftitutionel du Calvados, dit un jour à Bayeux en pleine Chair: Le Sieur Jéfus ; Cidevant Dieu, Te
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