Discours de M. le général Cubières, pair de France, ancien ministre de la guerre, membre du Comité d'infanterie : recueillis et précédés d'une notice historique par un officier de l'ancienne armée
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de Sa Sainteté, Avec elles défilaient le reste du régiment de Luxen et le résiment Giulai, On attend les autres troupes impériales et royales,
« Dans la même matinée, l’illustrissime seigneur conservateur, faisant fonctions de sénateur, s’est porté hors de la ville par la porte Romaine pour féliciter Son Excellence le comte Radetzki, commandant en chef les armées I. R. A. en Italie. Il à été aceucilli avec ces manières gracieuses qui appartiennent à Son Excellence, et il en, a obtenu les plus bienveillantes et Les plus rassurantes paroles. Son Excellence a fait son entrée dans nos murs à deux heures après midi, ‘
L’éminentissime prince le cardinal Joseph Albani, légat d’Urbino et de Pesaro , et commissaire extraordinaire ” souverain des quatre légations, a fait son entrée au milieu de nous à trois heures du soir, il a été accueilli avec joie par une nombreuse population, accourue sur son passage,
Le prolégat el la magistrature communale avaient été à sa renconire.
Voici la notification du cardinal Albani , pour le désarmement des gardes civiques. Cette pièce a été insérée dans la Gazette de Bologne de ce jour.
Le 9 février 1832, le général Cubières est mandé par M. Casimir Perrier, président du conseil, et par M, le maréchal Soult ; il recoit d'eux des instructions pour se rendre immédiatement en Italie et pour y prendre la direction de l’expédition d’Ancône qui avait mis à la voile de Toulon depuis deux jours.
Le 14 février, au moment où le général allait monter à bord du Nageur, bâtiment à vapeur, mis à sa disposition pour le transporter à Civita Vecchia, on lui communiqua la dépêche télégraphique suivante du président du conseil,
< On ne veut plus, rien de changé, Ancône ou...