Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

Boris, bon mario bon père ét maitre affablé, vous êtes eñ outre, Sire, de tous les rois télplus instruit vous parlez bien plüsieurs Fangues vivantesier mortes jvous: possédez l'his2 toire; læ: cosmographie es mathématiques! ét la sciénte-de la’ navigation’; énfins vous'aviezs Sire, toutes’ les connäissances ;'fourés les quai tés intellectuelles ét Ponts nécessaires par sp ti grand monarque, °°? © © DiQuél ialheur, Sire:ÿ qu'avec de: si sale ifioyens:de vous hHisbaguet: avec éclat, l'historien exact ne puisse recueillir dans votre règne, qu'üne < longe: série-de fautes impardénnables TVbtre “nation fut-elle amais scorrompué qué ! depuis “que vousiêtestsurle trône? Vos ministies d'ont2 ils pas surpassé en duplicité "en basses intrigues, “en ignorance} en ‘rapinésy en perversité, leurs prédécesseurs des “plus méprisables, ‘sans "en “exceprér le cardinal Volseys cet sp ‘hi -mistré du monarque le plus vicieux. ? 1101 -b = Pourquoi | sous Le püüvernément d'un prinée sausiiéelairé que vous, 08ire, ‘remarquéitsän une excessive dégradation dans rontés les! partiès sde administration ‘intérieure et) extérieurd de yossEtats , ane dégnÉtaiton sPshsible "défis slesigciences "mémés et “duns les. arts pis Ë Ja®Grande-Bretagfe ne lcéntient ques le sitième . «au «plus>duinombre de‘savans "er dé l'séns"de