Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

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de prêtres, Id'égoïstes:corrompusret dé nobles, à la tête «desquels: étoitile comte de Benin et soutenue -par le ministère Anglais, 1éleva'au Stathouderat + sept-provinces ; Guillaume [Vi votre lpère ;: Monseigneur: qui modela fa cotiduite sur celle: des: Stathouders que jé viens de citer, ; Say-première opération: fut de ‘rétablir le “haut. conseil. de guerre »qu'avoit imaginé !le tyran: Maurice, et qui futtoujours en Hollande une inquisition: despotique ; il imita aussie son ingratitüde envers ceuxequissavotent le plus conttibuécà son élévation; car ils'en fallut peu qu'il ine-fit éprouver: à Bentinck ,:de1sort ‘de’ Barnewvelti;, mais, avec cette | différence: que Bentink le ‘méritoit, parce qu'il avoit trahi sai patrie ,-en s'intéressant en faveur du despetisme ; jamais une pareille idée -put-elle venir ‘dans as pensée d’un-:homme honnête? Bentinkin'ayant! jamais. consulté. que sa propre ambitioner; sa cupidité; jesvous.ai vu:.sâns regret; -Monseigneur, en: 1767, lui donner :plusieurs preuves de.mépris.. On aime la trahison mais toujours: oniméprise. les: traitressi 1: HHièist et

. Dès.que votre. père: onde cc ses vit en. possession du Stathoudérat, ik donna toute sa confance,au.duc Louis de Brunswick; homme inquiet, turbulent, avide de-biens et d'autorité, faux, ami, lâche.ennemi,.et quià:la mort: de