Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

éxercoient À raspunué à dassédmetion pour 4te croitre le nombre: de'vos partisans » c'éstAlces dépensés-querce prince erhployoie tots Vos revéz | nus j etic'est: ainsi qu'il préparoit l'asservissement des pairiotes ; enfin! ce: détestablé brotllon'q qui S'étoit| fait chasser de la Russié ten r747,etiqui ne régna que quelques heures en°Courlandé!, se ft aussi ichasser ‘dela Hollande par l'exéératidnide presque tous les partis: etpar dés cabales et: des intrigues séditieuses il: se" fit énrôre chasser d'Aix-la Chapelle où:il s'étoit réfigiés"t r1Jtai érértémoin d'uniepartiel décette conduité Ent ee mg Pier Eee FU deb aiseiées Rs oteR ei de il cour de Vièié et: que ! m'avoit confiées ? Jet" Si Vineeshs Heiehtegeenint à 1S1vImerenor ! Ma 2 Le AIR Ce Fat anssi le due Louis, Monseignenr ; qui fithchoïixrde Votre. épouse il l'instrüisit S'Biér, que Hientôt'elle lé” Nr ‘en intrigues eten ambition. Pour vous’ procurer l'autorité absolue dônit >ellé1yôuloit disposer, elle S'attacha : à gagnér Frédéric Guillätme; son frère, en qi prétant de l'argent à "plusieurs reprises perñlert qu'il n'étoit encore ‘que prince royal ; "Sophie Guüillemine! très-avare , mais éncore plus ambi= tieusé sé ménageoit ainsi un instrument pour

l'exécution de ses sinispres projets. Cependant,