Lettres sur la révolution française : par J. Gorani, citoyen français, à son ami Ch. Pougens

Ie ! SOU .sÎ ( né uo alé iéoursyipar les déHts dont vous vous êtes rendu coupable : enÿers nous depuis trois Sans; voidioceux dont j'ai recueilli les! preuves pendantes séjour que j'ai “fait! en PAniRAËs ee mois? de Septembre dérnier< 2% «2: s PE ‘su ques sous le tasque de la depmlé vous n'aviez pas” cessé , + Monseigneur, “ee xq8 “comifiencement” dé! lnotré ? révolution ;° de CN Hminér” sourdemiét” notre ‘ ihué

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2! J'& suite Vous aviez “répandus des ‘émis: se “Ans vos villes et dans vos EDEERS* à ét en irHter les Habitänis contre mous. 1F'ai a aveét combien: d'intérét (yous aviez él Jei solliciratiôns de noséninémis déclarés l'etPcëTIes" du : ministère ) Anglais y pour vous « coaliser avec Le Éours de Foret et” de Berlin ' ‘contre nüus. ô S JA Gun que vous'n'atténdiez que: de signal ‘déivotre protecteür SEE HN; pour vous ‘'décläret” contrée mobs. © ist 9h Je sais que si vous ne nous avez pas prévenu “as déclaration de guerre que nous ÿenons “dé vous faire, C'est ‘que Yotis ‘vous méfiez'de ‘’vos" forcés et als dispositions de'‘vos peuples, qui vous donnent de fréquentes ‘inquiétudes | parlées préuves de leur éxcéssif méconténtement. . C'étoit’assez, Monseigneur, pour nous don-