Oeuvres politiques de Fabre d'Églantine

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cet homme a appartenu à à d'Orléans, qu’il est de la Société de Montargis, qui appartenait à d'Orléans. Or ce n’est plus un mystère maintenant que le système combiné entre d'Orléans et Pitt, et cette conspiration dont le premier était l'agent en Frarice *.

1. Monileur, Réimpr., XIX, p. 3. — Le Monileur ajoute : « L'orateur développe ensuite les moyens par lesquels l'affluence aux portes des boulangers est en raison du nerf des séances des Jacobins. Il termine par déclarer qu'il est persuadé que l’homme en question est un agent de Pitt, et demande qu'il soit conduit au Comité de sûreté générale. » La suite des débats établit que l'Anglais ainsi dénoncé se nommait Dengs et logeait à l'hôtel de Philadelphie, où, d'après un citoyen des tribunes, il se tenait des conciliabules d’Angiais et d'agents de Pitt. Finalement, Dengs fut conduit au Comité de sûreté générale,