Précis de l'histoire de la révolution française. T. 1-3
11 samedi.
12 diman.
14 mardi. 16 jeudi. 17 vendr.
18 samedi.
9 dimau.
21 mardi.
22 mercre 23 jeudi.
24 vendr.
25 samedi.
27 lundi.
TABLE
Vurmser se fait livrer le médecin Leuchsenring par le margrave de Bade.
Le général Miranda est acquitté par le tribunal extraordi-
paire.
Les Espagnols entrent sur le territoire de Bayonne, combattent et mettent tout en déroute, prennent le camp des Français et leur artillerie.
Bataille près d'Estren entre les Français et les Autrichiens ; ces derniers vainqueurs.
Isnard, 19° président. — Le général Miazinski condamné à mort par le tribuual extraordinaire.
Santerre, partant pour la Vendée, fait des adieux à la commune, dont le président le compare avec César.
D. denomination de douze commissaires extraordinaires pour prendre connaissance de tous les complots contre la république. — D. de défense à tout corps administratif, commissaire , etc., d'arrêter ou retarder l’exécution des arrêtés du comité de salut public.
Le général Villotte est destitué. — Servan aussi destitué.Les rebelles battus près Thone, — Sursis à l'exécution dn jugement de Miazinski. — La conduite de Kellermann trouvée irréprochable. — Le poste de Duremont enlevé sur les Autrichiens par Lamarlière.
Les Espagnols repoussés près Andaye et Saint-Jean-de-Luz. — Le général Miazinski dénonce Lacroix , Pétion et Gensonné.
Miazinski est exécuté.
La section de la Fraternité dénonce une assemblée clandestine à la mairie.
Défense aux sections de se tenir assemblées après dix heures du soir. ?
Hébert, procureur de la commune de Paris, emprisonné par ordre de la commission des douze. — Le camp de Famars enlevé par les Autrichiens.
La convention entend la lecture d’une lettre da maire de Paris, accompagnée d’un rapport sur la situation de cette commune, et par lequel il'annonce une insurrection prochaine, si des mesures Sages ne viennent à l'appui des magistrats. — Admission d’une députation de la section de Ja Cité, qui, suivie de la masfe, réclame la traduction de la commission des douze au tribunal révolutionaire. — Réponse maladroïite du président Isnard.—kRefus fait à Robespierre, qui demande la parole contre le président.—Protestation dela minorité, et demande de l’appel nominal. — Vive agitation dans l'assemblée. — Le président est obligé de se couvrir deux fois. — Admission aux honneurs de la séance de Raffet, qui déclare qu’ayant appris que la convention courait de grands risques , il était venu avec une trentaine d'hommes pour la défendre. La convention entend la Lecture d’une lettre du ministre de l'intérieur sur l'existence d’une trame ourdie contre la convention, et par laquelle il l'invite à se réunir aux Corps adminiswratifs pour dissiper les rassemblemens. — [mpres-