Bibliografia Vichiana II
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COMTE - STUART MILL - PLANCHE
Tra l’altro, egli asserisce di avere tratto da quella lettura la conferma del giudizio generale, dato da lui nel quarto volume del Cours de philosophie positive (Parigi, 1839-42), « sur l’avortement nécessaire de tonte tentative semblable avant notre siècle ». E soggiunge: «Ce que j’avais alors formulé pour Montesquieu et Condorcet, eùt convenu, et mème encore plus complètement, à Vico lui-méme, d’après les mémes principes ». Senonché « il en est tout autrement pour l’appréciation ainsi obtenue de la force intrinsèque de l’ auteur, que j’ estime en effet très grande, eu égard au temps et au milieu : quelques-uns de ses axiomes ou degnità préliminaires me semblent mème indiquer chez lui un premier pas vers le sentiment de la véritable évolution sociale, quoique son état de chrétien ou croyant ait aussitót étouffé un pareil germe ». Senza dubbio, « quelques-unes de ses aberrations soni de nature à alterer notablement cette estime personnelle de ses facultés philosophiques, surtout l’étrange théorie de la cireularité sociale; car son état mème de chrétien sincère eflt dii préserver Vico d’une telie absurdité, en lui rappeìant spécialement la supériorité générale du régime moderne sur le régime ancien. Ainsi sa fausse appréciation du moyen-àge, accomplie malgré cette heureuse inspiration religieuse, prouve, ce me semble, une étroite prépondérance de ses manies systèmatiques, qui rarement survient à un tei degré chez un penseur vraiment de premier ordre ». Ma, d’altra parte, merito cospicuo del Vico sembrava al Comte « une intelligence très profonde, et souvent saine, de la philosophie historique du langage », sebbene riserva affatto ovvia in un positivista « il y ait fort exagéré l’influence dea forces spirituelles sur l’ensemble de la vie humaine, où il a presque lotalement méconnu 1’ importance réelle des stimulants temporels ». A ogni modo, « cette lecture pourrait me déterminer finalement, dans une seconde édition de mon grand ouvrage, à consacrer specialement une ou deux pages à l’appréciation de Vico dans le second chapitre du tome IV, avant de juger Montesquieu » : seconda edizione, per altro, che l’autore non curò di preparare. Nella risposta, poi (India - House, 25 novembre 1844), lo Stuart-Mill dichiarava di non avere letto mai la Scienza nuova : il che non gl’impediva, « autant que j’ en puis juger», di credere l’opinione del Comte sul Vico « très bien fondée ». La lettera del Comte, insieme con la risposta dello Stuart-Mill, è pubblicata nelle Lettres inédites de J. S. Stuart-Mill à A. Comte uvee les réponses de Comte et une inlroduclion (Paris, Alcan, 1899) : cfr. lett. LVIII e LXIX, pp. 383 sgg. 21. G. Planche. Che il culto vichiano cominciasse a intiepidirsi in Francia prima ancora della rivoluzione del 1848 e del colpo di Stato del 2 decembre 1851, sembrerebbe apparire dal fatto che dal 1844 al 1848 non si riesce a mentovare alcuno scritto francese nel quale si discorra del Nostro. A ogni modo, nei Portraits littéraires di Gustavo Planche, vo-