Bibliografia Vichiana II
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PLANCHE ■ DIVERSI - SAINTE-BEUVE
lume I (Paris, 1848), p. 293, è detto che « une formule gémale et précise qui exprime le développement total » d’ un popolo è lo scopo propostosi dal Bossuet, dal Vico e dallo Herder, e che, «de nos jours », seduce ancora « quelques esprits graves et solitaires, comme Schelling ou Ballanche ». Da che si vede che anche il Planche, come, allora e poi, molti, non discrimina la provvidenza trascendente del Bossuet da quella affatto immanente del Vico e dello Herder. 22. P. Leroux, E. Baudrillart, P. Proudhon, C. Bartholmess, R. Saint-René Taillandier. Pietro Leroux (1798-1871), al dire dello Hazard (articoli appresso citati), considerava il Vico come « une espèce d’initiateur, qui le premier et le seul pendant longtemps avait deviné qu’ il y avait une suite dans la vie de l’humanité». Enrico Baudrillart (1821-92) inseriva un articolo sulla Scienza nuova nel secondo volume (1848) de « La liberté de penser : revue philosophique et littéraire », e lo ristampava nelle Études de philosophie morale et d'economie politique. « Vous m’avez fait connaftre Vico », scriveva Pietro Proudhon (1809-65) al Michelet (Proudhon, Correspondance, XVI, 166). Un articolo sul Vico era inserito da Carlo Bartholmess nel volume sesto, pp. 951-57, del Dictionnaire des Sciences philosophiques par une société de professeurs de philosophie (Paris, Hachette, 1844-52). Nelle Etudes sur la revolution en Allemagne (Paris, Franck, 1853), I, 347 e 349, Renato Saint-René Taillandier (1817-79) osservava che « après Vico le mouvement était absent de l’histoire » ; che « Herder et Montesquieu s’en passent » ; e che, pertanto, «la meilleure gioire de Hegel » è forse d’ avere ripreso «la pensée de Vico», d’avere celebrato, come già il JNostro, «avec un austère enthousiasme l’esprit universel et ses destinées toujours agrandies » e d’avere « scientifiquement établi cette marche non interrompue de ce qu’ il appelle l’esprit da monde, der Weltgeist ». Del Saint-René Taillandier vedere anche Les confidences d’ un poète, nella Revue des deux mondes del luglio 1877 ; nonché le menzioni del Vico in cui ci s’imbatte ne V intermédiaire des chercheurs et curieux, volume VI (1874), p. 203 e volume LXII (1910), p. 956. 23. C. F. Sainte-Beuve. Un fugace accenno del SainteBeuve (1804 - 69) al Nostro s’incontra nel « lundi » del 27