Correspondance politique et confidentielle inèdite de Louis XVI, avec ses frères, et plusieurs personnes célèbres, pendant les dernières années de son règne, et jusqu'à sa mort

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aux alliances les plus monstrueuses , dans la vue de$e partager la France, et de bouleverser ‘ le système politique de PEurope, à l'avantage de l'Angleterre ,de l'Autriche et de la Russie ? car toutes les autres puissances de la coalition auroient été infailliblement traitées comme les animaux le furent par le lion. .....

+4 2 + I prit tout là-dessus Qu bien, s’il ne prit tout. il n’en demeura guère. » ; P ? 5

Il résulte donc, de cette Correspondance supplémentaire, que le roi étoit entièrement opposé à toutes les mesures prises en France, depuis la formation des Etats - Généraux 5 jusques à la chute du trône ; mais que, hors d’état de résister à tonte la nation, il vouloit appeler les puissances étrangères à son sefours, OU, fout au moins , pour servir d’éPouvantal ; s’il est possible de le croire > SUTtout en se rappelant le manifeste attribué par M. Burke au général Burgoyne, dont on peut faire ici la plus juste application ; et que ses temporisations furent d’abord contrecarrées par ses frères, et toujours par ceux qui les entouroient , qui n’avoient d’autre but,