Discours de M. le général Cubières, pair de France, ancien ministre de la guerre, membre du Comité d'infanterie : recueillis et précédés d'une notice historique par un officier de l'ancienne armée

11 allocations plus considérables, faute desquelles nos casernes et nos places fortes ne sont pas dans une situation complétement satisfaisante, dans la situation que comportent la grandeur du royaume et nos intéréls nationaux. De 1829 à 1840, il a été dépensé pour les places . + + + + + + + 60,400,000 fr.

Savoir :

Pour entretien. + + + + + 13,500,000 Pour les améliorations. + + . : 29,500 ,000 Pour les constructions nouvelles . 17,400,000

Total... 2... 60,000,000

Pendant la même période de dix années, les fonds alloués pour les travaux publies se sont élevés à. . … 965,836.,307

Savoir:

Par les budgets ordinaires. . + : 425,198,907 En dehors des budgets ordinaires. + 540,637,400

Datala srssal065;836,207

Ainsi, pendant que la France consentait à dépenser près d'un milliard en travaux (civils), elle ne consacrait à ses places fortes, à ce qui fait la sûreté de l’État, que la faible somme de 46,900,000 fr. pour améliorations et constructions nouvelles, de sorte que si les Chambres accordaient aujourd’hui, comme il y a lieu de l’espérer, toutes les sommes demandées pour les casernes et les écuries, pour Paris et pour les autres places, la totalité de ces allocations, jointe aux 46,900,000 fr. de travaux déjà exécutés, ne s'éléverait qu'à environ 340,000,000, c’est-à-dire un peu plus du tiers de ce qui a été dépensé en dix ans pour les