Entre slaves

DEL in ee in Ro

BEOFPAA LE RÈGNE 1 ppK 1Geloviéricunr 69 Blancs ou roug&, EuO, GA Disses, les uns ne

valaient pas mieux que les autres.

Combien sont-ils dans le pays, disaient-ils? Deux Ou trois mille à peine, répandus dans une quinzaine de petites villes et c’est ce nombre infime, comparé aux deux millions de paysans, qui à la prétention de diriger la politique et de conduire les affaires! C'est ce Sobranié composé de gens incultes, de paysans sachant à peine lire, qui serait maitre de diriger la politique du pays!

Le mécanisme, l'esprit du Système représentatif, échappaient à ces sujets d’un aultocrate. L'opinion pour eux n’était qu'un mot vain, puisque seul le groupe de ces politiciens s’agitait dans la sphère des affaires Souvernementales auxquelles la nation restait certainement indifférente.

Ils ne sortaient pas de leur raisonnement. Pour eux, le vrai Bulgare, le vrai Slave, c'était celui qui plaçait le Tsar libérateur au-dessus de tout, qui s'inclinait devant son image, c'était le paysan. Les autres n existaient pas.

Aussi longtemps que l'oreille clémente, complaisante du Tsar défunt écoutait tout, Baftenberg n’eût rien à craindre. |

Cela changeait avec Alexandre III. Il détestait son cousin. Estsl vrai que déjà dans leur enfance, les deux parents ne s’affectionnaient pas, que le caractère ombrageux du Dsar avait souffert de la place que