Historiens et marchands d'histoire : notes critiques sur des récents : La duchesse de Chevreuse ; La Tour du Pin ; Les vainqueurs de la Bastille ; Les discours de Danton ; Les volontaires nationaux ; Dumouriez ; Le général Dours, Stanislas Fréron ; Hohenlinden ; Le duc d'Enghien ; Duroe ; Étiene de Laclos ; Napoléon et le monde dramatique ; Madame de Genlis ; Delphine de Custine ; Le Brulard de Stendal ; A la barre de l'histoire ; La jeunesse de Louis-Philippe ; La guerre de 1870

DELPHINE DE CUSTINE #9

palais est envahi et la garde suisse, massacrée.

P. 139. Custine ne commandait pas encore l’armée du Rhin au 15 octobre 1792.

P. 164-165. On pourrait croire d’après le récit de M. Maugras, que Francfort — qui fut repris le 2 décembre 1792 — a été repris en avril 1793.

P. 165. Il est inexact de dire qu’au 17 mai 1793, à Rülzheim, Custine fit une sortie puisque Custine n’était pas dans Mayence, et d’ailleurs il ne fut pas « écrasé ».

P. 166. C’est le 28 juillet et non le 23 qu’on apprit la capitulation de Mayence et le 1° août, et non le 28 juillet qu’on apprit la capitulation de Valenciennes.

P. 174. Custine ne fit pas arrêter, il menaça de faire arrèter le docteur (ou plutôt le professeur) Hofmann.

P. 227. Une malencontreuse virgule fait d’un seul homme, Élie Lacoste, deux personnages, Élie et Lacoste.

P. 269. Miranda, né à Caracas, n’était pas Péruvien.

P. 270. Pourquoi dire le malheureuæ prince de Eambesce !?

P. 378 et ailleurs, l’auteur nous dit que Delphine était pauvre, besogneuse, qu’elle se dé-

4. Lire, en divers endroits, Assing, Starhemberg, Luckner, Hofmann, Schlosser, et non Assung, Sfahremberg, Lüchkner, Hoffmann et Schlojfer.