La crise balkanique (1912-1913)

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d’avoir réussi dans sa mission.

Jetons maintenant un rapide coup d’æil sur la siluation de l’Empire ottoman à la veille de la guerre turco-balkanique.

Au point de vue exlérieur l'Empire était en guerre avec l'Italie, guerre longue, mais sans importance capitale sur la marche des affaires ottomanes, « effel : aucune force militaire importante ne combatlait en Tripolitaine el en Cyrénaïque ; n'ayant pas d'armée à entretenir l'Empire financièrement ne souffrait pas de la durée des hostilités ; en plus la vigilance des Puissances empêchait l'Italie de transporter la guerre en Europe et de chercher, sur ce terrain, un résultat définitif.

Toute autre était la situation intéricuré.

Une pénurit extrême du trésor accumulait les difficultés financières, on essayait d'y remédier par des expédients de fortune; l'empire vivait, pour ainsi dire, au jour le jour.

Au mois de septembre le cabinet Saïd-Pacha fut renversé, des insurrections graves avaient éclaté dans les provinces d'Europe ; l'armée s'était Jointe aux manifestants après avoir refusé d'aider à rétablir l’ordre (mutinerie d'Andrinople). Les officiers et soldats, divisés par des querelles de basse politique,

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