"La Guzla" de Prosper Mérimee : les origines du livre - ses sources sa fortune : étude d'histoire romantique : thèse pour le doctorat d'Université

BIBLIOGRAPHIE.

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Grenelle-Saint-Germain, 1877. Imprimerie Capiomont et Renault, 6, rue des Poitevins.. Réimpression stéréotypique, notée dans la Bibliographie de la France du 2 juin 1877. •13. Même titre. Paris, G. Charpentier, éditeur, 13, rue de Grenelle-Saint-Germain, s. d. Imprimerie E. Capiomont et V. Renault, 6, rue des Poitevins. Cette édition, qui devait être la dernière chez Charpentier, est sans doute postérieure à 1877 et antérieure a 1881. Elle n’est pas notée dans la Bibliographie de la France, mais elle se trouve à la Bibliothèque Sainte-Geneviève à Paris. 14. OEdvres complètes de Prosper Mérimée. La Double Méprise. La Guzla. Paris, Calmann-Lévy, éditeur, 3, rue Auber, 1885. Bourloton, Imprimeries réunies, B. pp. iv (faux titre, titre); pp. 320, in-18. 3 fr. 50. Bibliographie de la France du 9 mai 1885, comme ayant paru le 21 avril. Dans cette édition, la Guzla se trouve aux pp. 129-320. II TRADUCTIONS DE « LA GUZLA )) 1° Allemagne : Gerhard (Wilhelm). Wila. Serbische Volkslieder und Heldenmarchen. Zweyte Abtheilung. Leipzig, Verlagvon Joh. Ambr. Barth, 1828 [W. Gerhard’s Gedichte. Vierter Band.j. pp. x et 317 in-8 0 . Aux pages 91-188 se trouvent traduites vingt-sept pièces de la Guzla. Ne manque que la Triste ballade de la noble épouse d’Ascm-Agâ. T appert (Dr. Robert). — Alexander Puschkin's Dichtungen. Aus dem Russischen übersetzt. Leipzig, 1840. 2 vol. in-B°. Aux pages 311-312 du tome premier : Serbisches Lied, poème qui n’est autre chose que le Cheval de Thomas II de Mérimée, traduit sur la traduction russe de Pouchkine : Sprich, was wieherst du so traurig, Stampfest mit dem Huf so schaurig Sprich, mein Ross, was dich gekriinkt, Dass dein schlanker Hais gesenkt ? etc.