La légende de Cathelineau : ses débuts, son brevet de généralissime, son élection, sa mort (mars-juillet 1793) : avec nombreux documents inédits et inconnus

= 49 te

,

après ce coup d'éclat, à ne put s'empêcher de reconnaitre quil avait à éloufier une guerre civile, qui pouvait compromettre l’emislence de l'Élat. Outre les milliers de recrues, que cette victoire procura aux vainqueurs, üs en retirèrent des munilions considérables, des armes, quatre pièces de campagne, outre la fameuse « Marie: « Jeanne. »

Le lendemain, l'infatigable Cathelineau se porta sur Vihiers. Celte ville fut évacuée le même jour el les insurgés ne remportèrent ce jour-là d'autres trophées que quelques chariots chargés de papiers du District, qu'üts destinèrent à faire des cartouches. Après tant de combats, l’armée Vendéenne avait besoin de repos. On se sépara, après s'être ajourné à la semaine de la Quasimodo. Les diverses altaques des républicains ne purent rien Changer à ce plan. Sept cents homines partis d'Angers parcoururent en ious sens le pays insurgé, Sans trouver la moindre résistance, et la France conçut l'espoir d'éleindre sans effort l'incendie allumé dans son sein. Elle eut bientôt lieu de se détromper.

Le 9 avril, l’armée royale.

Assez de contes. L’insurrection angevine, pour ne parler que de science à ma portée n’est pas née de hasard, dans un petit village.

sous l'inspiration d’un fanatique bien avisé. C’est