La terreur à Paris

250 -: LA TERREUR À PARIS

Les acteurs du Théätre de la Nation (ComédieFrançaise) y étaient les plus maltraités. Mais aussi, que diable, ils n'étaient pas de bons sans-culottes ; ils faisaient le jeu des aristocrates. N'avaient-ils pas, en 1793, osé jouer l’Arx des Lois, où les maitres de la guillotine, Lu Marat, élaient désignés dans ces. Vers :

On doit pour son grand bien bouleverser la France. Dans votre république un pauvre bêtement

Demande au riche !.. Abus! Dans la mienne il lui prend. Tout est commun; le vol n’est plus vol, c'est justice. J’abolis la vertu pour mieux punir le vice!

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et dans ceux-ci :

Guerre, guerre éternelle aux faiseurs d'anarchie ! Royalistes tyrans, tyrans républicains,

Tombez devant les lois, voilà vos souverains |! Honteux d’avoir été, plus honteux encore d'être. Brigands, l’aube a passé, songez à disparaitre!

Un sans-culotte, s'étant permis de dire que « la tolérance politique était un crime », s'était fait huer par la salle entière *.

Le lendemain, un journal patriote, La Feuille du Salut public, écrit : « Un patriote vient d’être insulté dans une salle où les croassements prussiens

! L’Aïni des Lois, journal du citoyen Laya. © Les Spectacles de Paris, 1193.