Lazare Carnot d'après un témoin de sa vie et des documents nouveaux

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et Membre du Collège électoral du département du Finistère. Avec cette épigraphe sur le titre :

Furor ne cœcus, an rapit via acrior ? An culpa ? Responsum date. Tacent ; et ora pallor albus inficit, Mentesque percusæ stupent.

HoraAr, EPoD. op. vit.

À Brest, chez Lefournier et Deperiers, libraires, rue Royale, n° 84, 1814. De l'imprimerie de J.-B. Lefournier.

« Votre Mémoire au Roi, lancé parmi nous comme une fusée incendiaire par une main ennemie du repos public, est parvenu, Monsieur, jusqu'à moi à cette extrémité de la France. Je l'ai lu attentivement, et je n'ai pu, je vous l'avoue, m'empêcher d'éprouver un sentiment de peine en voyant par quels faux raisonnements et par quel renversement des principes d'une bonne législation, un géomètre distingué, un tacticien fameux, a pu chercher à justifier le crime dont se sont rendus coupables ceux qui ont assassiné le meilleur des rois, le plus vertueux des hommes.» Ce début donne l'esprit de la brochure.

Guillot. — Le Jacobinisme réfuté ou observations critiques sur le Mémoire de M. Carnot, adressé au Roi en 1814, par M. F.-M. G‘* (Guillot). Avec cette épigraphe sur le titre :

O Dieu qui punis les outrages Que recoit l'humble vérité, Venge-toi, détruis les ouvrages De ces ivres d'iniquité.

J.-B. Rousseac.

Paris, de l'imprimerie de C.-F. Patris, rue de la Colombe, dans la Cité, mai 1815. Cet ouvrage se trouve aussiau PalaisRoyäl, chez Delaunay, Pelicier et chez tous les marchands de nouveautés. 85 pages in-12.