Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques

CIVIQUES. LS

Une ombre n’apparoît soudain, Dont la fierté me frappe,

Et ce discours républicain De ses lèvres échappe:

La déesse du noir séjour ! Ne fait grace à personne ;

Vois-tu sa faulx qui, chaque jozr, Sans s'arrêter moissonne ?

Un fleuve t'offre, dans ses eaux , De la vie une image;

Les flots sont suivis par les flots; Ainsi coule notre âge.

Chers amis, séchez donc vos plèurs Et calmez vos alarmes ;

Puisque nous vivons dans vos cœurs : À quoi servent vos larmes ?

Taïsez-vous, soupirs douloureux D’une mère chérie...

Ne meurt-on pas toujours heureux , Quand c’est pour la patrie ?

TR PP ED D ie 36 Messidor.

LE RESPECT DES LoO1x

À ce d'or si fameux , W’es-tu qu’une chimère ? Des poètes vantés, de ton règne éphémère H