Le progrès des arts dans la République : poème : précédé d'un discours sur le même sujet : suivi d'un autre poème intitulé Dieu et les Saints; de quelques vers sur les victoires de Buonaparté; des Doléances du Pape et de nouveaux Hymnes civiques
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134 HYMNES CIVIQUES.
Cette mort, que méprise nn homme de courage, Sur l’échafaud cruelle, est si dotice au combat.
Un fils me reste, hélas ! qu'il serve la patrie! Qu'un ami (1) le conduise au sentier de lhonneur : S’ilrevient triomphant il fera,mon bonheur;
Et je me venge ainsi d’une mère chérie.
L'ombre disoit ; et moi, rival respectueux Des chantres de la Grèce aimés de la nature, Pessayois de transmettre à la race future, Les derniers sentimens d’un ami vertueux.
(1) Beauharnaïis, avant que de moutir, exigea que son fils partit pour l’armée avec le général Hoche, et se formät dans Vart des combats sous cet habile général.
J ÈS