Les Croates et l'Autriche-Hongrie

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pour l'aider dans son œuvre d’apaisement et de concorde. Cependant, en même temps, deux Allemanûs de: Bohème, MM. Urban et Baerenreither, entrèrent dans:le: cabinet de Clam-Martimitz. Ils anmoncèrent à leurs compatriotes qu'ils avaient reçu: là promesse que par la voie des décrets impériaux l'allemand serait proclamélangue d'Etat, quela Bohème serait divisée en deux parties et que le règlement du « Reïchsrat » serait modifié afin dé: combattre d'avance toutes tentatives d'oppoation slaves. En: excluant les Polonais etles Ruthènes du Parlement par l'autonomie accordée à la Gadicie, la: majorité au « Reichsrat » aurait été assurée aux Allemands et l'opposition des Slaves briséepour toujours; [lest donc clair que le nouveau prince, déjà au début. de son règne, n'était pas eapable de faire face aux difficultés qu'il avait à combattre: IL désirait se débarrasser des Hohenzollern et empêcher de cette façon une fusion complète avee l'Allemagne et aussi se réconcilier, en mêèmetemps; avec les Slaves, maisil n'avait pas la force: nécessaire d'abandonner le système centraliste: ILcraignait les attaques furibondes des Allemands etides Magyars: Faible et sans énergie, il se trouva dès les commencements de son: règne en désaccordiavec:sonmanifeste du 21 novembre. En congédiant. M. de Koerber, il ne rejeta point le programme de cêlui-ci, c’est-à-dire une politique de germanisation et de centralisation de l’Au-