Les fêtes et les chants de la révolution française
APPENDICE. 263
de la Liberté, de Grétry (lArbre de la Liberté). M. Maurice Bouchor en à introduit aussi quelques autres dans son recueil en 4 volumes publié sous le titre général de Poème de la Vie humaine.
Enfin, au point de vue de l'iconographie, très abondante pour cette époque, je dois renvoyer principalement à l'ouvrage illustré de M. Ed. DruMoNT, les Fêles nalionales à Paris, 18179.
Les renvois aux documents contemporains ne seront faits, dans cet appendice, que d’une façon sommaire. Les lecteurs qui désireraient des détails plus précis en ce qui concerne l'indication des sources trouveront généralement les satisfactions qu'ils peuvent souhaiter en se reportant à notre étude précitée : les Fêtes de la Révolution française (Ménestrel de 1893-94), base principale du présent travail (d’ailleurs considérablement remaniée) où ces indications sont données par le menu à l’aide de notes au bas des pages. Il ne nous a pas paru indispensable de maintenir cette disposition dans ce livre.
CHAPITRE I. — Quatre-vingt-neuf.
Sources principales : Mercure de France (Journal politique de Brucelles joint au Mercure de mai 1789). — Moniteur. Révolutions de Paris. — Chronique de Paris. — Correspondance de Camille Desmoulins. — ZIMMERMANN, article sur Sarrette dans la France musicale du 21 novembre 1841.— P. HÉDOUIN, biographie de Gossec dans la Mosaïque (1856). — FÉTIS, Biographie universelle des musiciens, articles Gossec, Catel. LASSABATBIE, Histoire du Conservaloire. — CONSTANT PIERRE, B. Sarrelle et les Origines du Conservaloire et le Conservaloire national de musique et de déclamalion. — Eb. DRUMONT, les Fêles nationales à Paris. è
Sur la musique de la garde nationale et les origines du Conservaloire :
Les dates officielles d'entrée des principaux maîtres de l’époque révolutionnaire dans la musique de la garde natio