Neunundsechszig Jahre am Preussischen Hofe : aus den Erinnerungen der Oberhofmeisterin Sophie Marie Gräfin von Voss : mit einem Porträt in Stahlstich und einer Stammtafel

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encore toute la satisfaction imaginable de votre prochain mariage! — Sur ce je prie Dieu qu’il vous ait en sa sainte garde. Fréderic.

Einige Briefe des Verlobten an ſeine Braut während der furzen Zeit jenes von Beiden gemeinſchaftli<h in Berlin verlebten Brautſtandes zeigen, daß von ſeiner Seite bereits eine langjährige Zuneigung dieſer Ehe vorausging. Jn einem derſelben klagt er über die Schwierigkeiten und Hinderniſſe, welche er zu beſiegen gehabt, um ſih ihr zu nähern , und fährt dann fort:

„Mais s'il m’en ‘coutait mille fois davantage et quoiqu'il en arrive, je regarderai tout en bagatelle vis à vis de ce grand bonheur qui me vient de vous, que depuis tant et tant d’années j’ai aimée et estimée au dela de ladoration.“ —

Jn einem anderen Briefe ſagt er, wahrſcheinlih dur< ihre Kälte beunruhigt ;

„Il est vrai que j’ai journellement le plaisir de vous voir, mais l’agrément que j’en réssens n'’est guere complet, vu que je me yois gêné au point de n’oser vous parler qu’en passant. II m’est impossible d’être tranquil; s80us ces entrefaites, car vos bonnes grâces m’inquiètent trop pour ne pas être empressé d’en avoir tous les jours des nouvelles. Je crois que j’en prends la fièvre, car sans être bien sûr de vos sentiments je ne fais qu’admirer tous les jours votre beauté en public.“

Auch mag als Charakteriſtik der Ausdrucksweiſe jener Zeit noch ein drittes Billet hier einen Plaß finden, welches er ohne Unterſchrift, wie es ſcheint, von einem Shmu> begleitet, ſeiner Braut ſendet: