Précis des événements militaires, ou Essai historique sur la guerre présente : avec cartes et plans. T. 2, Renfermant la suite dles évènmens les plus remarquables depuis la rupture de congrès de Restadt jusqu'à la fin de la campagne de 1799, au 7 et 8 de la République, page 483

Notes 467 la mème validité : chaque puissance é étoit réconnue de ceux qu’elle favorisoit. assidu b

Ce seroit excéder les, Dor rnes lune pote. que de suivre plus longtems dans | hi stoire des traces des deux partis Guelfe et Gibelin A Re one avons dit démontre assez évidemment. quel étoit, lesprit

recteur de chacun : l'Empire voulait fane. des con quêtes ; l'Italie voulo AR fu. joug. Les empereurs auroient Homplé , sans doute si les papes n’eussent toujours a à Belé d” auites P inces à

leur secours. Telle étoit J foiblesse de lTiale, .que tout esprit national et belliqueu # étant perdu, elle ne pouvoit répousser, une invasion que par le secours d'u autre. La politique. des: -papes fut .donc constamment, ainsi que nous l'avons remarqué , d'opposer les barbares aux bar bares, dans l'espoir de les chasser les ans par Jes autres, et, de demeurer indépendans. Mais de tant de guerres». d'inyasions et de conquêtes, d’un pareil déchirementc de. partis, il dut résulter un morcellement, de territoire qui

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perpétua la foiblesse du paÿs Ass Les papes ÿ

contribuèrent. encore 3 PRESS: EE als. RE -Yeulatent jamais permettre que les princes aliens eux-mêmes devinssent assez puissans. Is voulgient bien rétinir Italie sous lautori ité, du saint-siège; ils RE vouloient pes qu'un autre prince la réunit A s mais. le saintsiége, centre des opinions religieuses ne. pouveit pas le devenir de la puissance politique, La. nature même. de l'autorité, papale, Sÿ.: opposoit. Les Romains éloient moins disposés que, tout autre peuple

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